Histoire et Patrimoine

  • Le lavoir
    Le lavoir de Labarthe-Inard a été aménagé au bas de la côte de la Canaou à la fin du XIXe siècle. Son grand bassin est alimenté par l’eau très claire de la source de la Canaou, qui naît juste en amont.
  • Le chemin de croix
    Le village de Labarthe-Inard a la particularité de posséder un Chemin de croix extérieur. Il débute à proximité du lavoir et s’achève au sommet de la butte sur laquelle il est érigé.
  • L’Eglise paroissiale Notre-Dame de la Nativité
    L’église primitive était de style roman. Elle était beaucoup plus basse et plus petite, sûrement sans bas-côté nord. Le chrisme en marbre placé au dessus de la porte devait orner le tympan. Elle a subi de profondes transformations comme le prouve le portail, de style gothique du XVIe siècle.
  • Le clocher-mur
    Construit au XVIIIème, le clocher est un mur à cloches en pierre de forme triangulaire. Sa date de construction, 1761, est gravée deux fois : une première fois sur le contrefort sud et la deuxième fois sur l’une des pierres d’un contrefort sud-ouest.
  • Le porche de l’église
    Le portail est de style gothique. Sur certains chapiteaux, bien qu’usés par le temps, la feuille d’acanthe – en flamme, caractéristique du style gothique – est assez bien conservée. 
  • Le retable
    Retable remarquable datant des XVI-XVIIème siècle, classé au titre des monuments historique. Monumental, le maître-retable de l’église Notre-Dame de la Nativité est un chef d’oeuvre de l’ébénisterie fait de bois doré et polychrome au décor riche de motifs ornementaux, végétaux et d’angelots. Alliant le bleu et l’or, il rayonne dans le chœur de l’église et se développe sur cinq travées verticales.
  • Les peintures murales
    Ces peintures ont été découvertes récemment, à l’occasion de la dépose, pour restauration, du retable du XVIIIe siècle qui orne le chœur de l’église. Elles auraient été réalisées à la fin du XVe siècle ou au début du XVIe. Une étude est en cours pour leur datation, leur inscription dans l’histoire de l’église et leur valeur artistique.
  • La statuaire religieuse
    La statue Notre-Dame Cette statue se trouve dans la cour de l’église paroissiale. C’est une Vierge à l’Enfant, en fonte, peinte en blanc. Sur le socle en pierre de taille on peut lire l’inscription : « Souvenir de la Mission donnée par Blaise Cazedessus – Novembre 1882 »
  • Les croix de chemins
    Ce sont des croix monumentales qui se sont développées dès le Moyen Âge. De forme, de taille et de matières variée : bois, granit, aujourd’hui en fonte, fer forgé ou ciment, elles agrémentent aussi bien les bourgs et les hameaux que les routes de campagne et symbolisent l’acte de foi de la communauté.
  • La chapelle Saint Genest et l’ancien presbytère
    L’ancienne chapelle dédiée à Saint Genest fut reconstruite en 1838 et restaurée ensuite par des descendants d’inardais émigrés en Louisiane (fin XIXe), par des prisonniers de guerre libérés en 1945 et aujourd’hui par la commune.
  • Le Monument aux Morts et son sculpteur: Paul Landowski
    Le Monument aux Morts et son sculpteur: Paul Landowski Le Monument aux Morts du village date de 1922. Après la guerre de 14-18, « la Religion de la Guerre devient la Religion du Souvenir et les Monuments aux Morts seront la mémoire des combattants ».
  • A propos du château de La Maguère
    A propos du Château de La Maguère. Au cours de quelques entretiens, Madame Monnereau, ancienne propriétaire, me rappelle la richesse du passé du château , ainsi elle met en évidence:
  • Panorama depuis le Cagire
    Nous sommes habitués à observer le Cagire depuis notre vallée de Garonne.
  • Une grande figure de Labarthe-Inard : Jean Cazedessus
    Une grande figure de Labarthe-Inard au siècle dernier : Jean Cazedessus (1875-1955) Dans le quartier de la Pouche, à l’intersection de la rue des Pyrénées et de la rue du Barban, se dresse un majestueux bâtiment à plusieurs corps qui ne manque pas d’attirer l’attention voire la curiosité même des plus profanes. Bien que d’une apparence très ancienne, il est loin d’être vétuste puisque sa construction remonte à une centaine d’années, tout au plus. En fait, ce logis original et pour ainsi dire anachronique est à l’image de son premier propriétaire dont il est question ici; lequel l’a fait construire selon ses goûts et sa vénération profonde pour la culture classique et plus particulièrement l’antiquité et le Moyen Age qui se manifestent essentiellement dans cette architecture.
  • Comprendre la géomorphologie de Labarthe-Inard
    Essayer de comprendre un brin de géologie à Labarthe-Inard et l’origine de la géomorphologie actuelle. Le titre semble très ambitieux, compliqué et pourtant l’existence même de notre village dépend du contexte sur lequel il s’est édifié. Des vestiges anciens témoignent d’une présence humaine depuis au moins 10 000 ans mais il faut remonter beaucoup plus loin pour reconstituer son environnement.Par exemple, l’élaboration de l’actuel « Plan Local d’Urbanisme » doit tenir compte du contexte géologique sur lequel s’est construit le village. Ainsi est-il nécessaire d’analyser de plus près la carte au 1/50 000e proposée par le BRGM.
  • Labarthe-Inard, vue aérienne
    Pour un photographe, prendre des vues depuis le ciel est une envie mais une douce utopie ! Ne possédant pas les ailes d’Icare qui voulait quitter la Crète, il a fallu me contenter des sommets et des points hauts comme promontoires. Mais peut être avez vous remarqué un parapente à moteur qui a survolé notre village et nos maisons. Il s’agit d’un passionné parapentiste, Raoul Cazassus, qui, de plus, prend des clichés des villages du Comminges et des maisons aperçues.